The Last Dinner Party

En seulement quelques mois, The Last Dinner Party est passé des pubs sombres de l'est londonien où elles avaient l'habitude de se produire aux scènes d'arenas et de théâtres du monde entier. Courtisé par les plus grandes maisons de disques, agents et producteurs, le quintet n'en est qu'à l'aube d'une longue et brillante carrière, alors que le guitar rock semble connaître une renaissance.

Composé d'Abigaille (chant), Aurora (clavier), Georgia (basse), Emily et Lizzie (guitares), The Last Dinner Party tisse des mélodies fantastiques et émouvantes, reposant sur des chœurs explosifs et des paroles à la fois tragiques et triomphantes. Le premier album du groupe, 'Prelude To Ecstasy' (Polydor/UMF), sorti le 2 février 2024 inclus les morceaux entêtant 'Sinner' et ‘Nothing Matters' et s’est hissé au sommet des charts au Royaume Unis et dans le monde entier. Un véritable succès critique : « une belle invitation à l’extase musicale » d’après Le Monde, « un talent qui se manifeste aussi bien sur disque que sur scène » pour Rolling Stone France. 

Après un premier concert à guichets fermés à La Maroquinerie, The Last Dinner Party sont de retour pour deux dates unique en France : le 28 octobre à L’Olympia à Paris et le 5 novembre à L’Épicerie Moderne à Lyon. 

Une nuit brumeuse tombe quelque part entre le Gloucestershire et Bristol. Un panneau en bois à un carrefour indique deux directions : bon vieux chagrin d’amour teinté de country à gauche ; pop décontractée à droite – et en dessous, jambes croisées sur le capot d’une voiture, se trouve Katy J Pearson, grattant une guitare acoustique en contant une romance florissante sur le dancefloor.

Combinant une voix unique avec un penchant pour la mélodie intemporelle, Pearson – qui a sorti son premier album Return en novembre 2020 – écrit des morceaux qui ne peuvent qu’être influencés par ses années passées dans les collines vallonnées du sud-ouest de l’Angleterre.

Née à Liverpool avec un goût prononcé pour l’espièglerie, Luvcat s’est enfuie avec un cirque parisien à la veille de son seizième anniversaire. Elle y devient l’assistante d’un magicien pendant de nombreuses années, dans les plumes, les soies et les paillettes. Après un tour tragique qui a mal tourné, Luvcat a fait un dernier acte de disparition, s’enfuyant dans un train à travers l’océan jusqu’au cœur de Londres et se faufilant à nouveau dans la société. Inspirée par la romance sombre et enjouée de Leonard Cohen, Nick Cave et The Cure, Luvcat a commencé à écrire des chansons sur ses voyages et tous les amants et libertins qu’elle a rencontrés en chemin.